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CR de Givors… by Morgan Zou

Actualité Seniors

 

Bonjour à tous,

C’est parti pour le CR du dernier déplacement qui nous emmenait en terre Gieroise, pays d’enfance de notre Coach Tony (où il excellait dans la discipline phare, la joute Givordine, parait-il).

Nous retrouvions, le matin, au café de la Messagerie du Pouzin, notre ami Flo Hilaire qui nous racontait sa soirée endiablée de la veille avec des yeux encore un peu collés.

Le bus arrivait avec son petit retard habituel et nous embarquions pour ce charmant voyage vers la métropole lyonnaise. Les parties de coinches et les jeux de dés étaient de rigueur comme à chaque déplacement, Bapt et quelques acolytes tentait de faire le mot fléché au grand damne de la Science qui nous honorait de son retour. Mot fléché qui fut avorté après que Bapt échoua à trouver « sorti de l’œuf » en 2 lettres. Sa rage fut telle que le malheureux bout de papier de notre cher Nestor fini en morceaux. Je ne vous raconte pas l’état de la Science en voyant ça. Le pauvre Tonio, lui, s’était encore fait dépouiller aux dés (Arrête Tonio, ça te coute trop cher ce jeu, je pense qu’ils te roulent en plus).

Malgré ces petites anicroches, le bus (plein, qui plus est), nous arrêtait sur une aire d’autoroute pour prendre un petit café et quelques mignardises, histoire de détendre les esprits échauffés par les divers jeux intellectuels. Et nous voilà repartis pour retrouver notre lieu de sustentation, cette terrible cafète, qui comporte nombres de tentations culinaires.

Mais cette fois ci afin d’éviter tous débordements nous avions un menu dédié, interdiction de prendre quelque extra que ce soit. Du coup JB avait interdiction de cacher des frites sous ses pâtes, Tonio ne pouvait pas prendre 3 entrées et 4 plats, Pompon n’avait pas non plus le droit à ses 8 desserts, ce fut une grande déception pour eux…  

Baral avait trouvé la parade, nous ayant retrouvé avec toute sa famille devant la cafeteria (d’ailleurs je pense qu’ils auraient pu faire un bus à eux seuls). Il profitait donc des siens pour se mêler à leurs repas et donc prendre tout ce qu’il voulait, source de grande jalousie. Ces péripéties passées il fallait encore une fois remonter dans le bus, moment que Damien trouva opportun pour déclarer sa flamme à Lydie en lui chantant du Vianney, affaire je crois classée sans suite…

Nous voilà donc arrivés au joli stade de la Libération où la commission des supporters organisait une matinée saucisson chaud, avec fanfare endiablée.

SCP B : 10                 GIVORS B : 42

SCP : 21                    GIVORS : 24

 

N’ayant évolué qu’une mi temps en équipe B, pour prêter main forte à l’équipe Une, dans un rôle dont on néglige souvent l’importance : celui d’arbitre de touche. Un poste bien sur absolument objectif et arbitraire, qui permet de gagner de précieux mètres et d’éviter, quand le pied d’un joueur de l’équipe a légèrement mordu la ligne et que l’arbitre (le vrai) est un peu loin, d’être atteint d’une cécité soudaine. Merci aux coachs pour cette confiance qui m’a été accordée (non j’ai joué un peu quand même, donc réellement merci à eux).

Je n’ai donc pas de réelle analyse à vous apporter sur le match de l’équipe B, je crois qu’on est tombé sur une belle équipe qui avait vraiment envie de faire un résultat, la vaillance des petits tangos n’a pas réussi à faire plier les Givordins! En ce qui concerne l’équipe Une, et bien ce fut un match plutôt stérile et platonique, les joueurs de Givors rendant une belle copie pendent que nous nous endormions sur le terrain. Somme toute, rien de bien intéressant sur ces 2 matchs. Le reste de la journée était vachement plus rigolote. Et puis entre nous, vous vous en foutez un peu de des matchs de toute façon quand vous lisez le CR !

On a aimé :

Chanter à la buvette avec les gonz de Givors, le beau temps, la ferveur.

On n’a pas aimé :

Perdre, se faire virer de la buvette (On a trop chanté).

Les phrases du dimanche :

La première est pour la Science avec ses analyses tranchantes :

« En même temps, il y a pas d’équipe 3, il faut bien qu’ils jouent en B… »

Et la deuxième est encore plus rude (désolé pour les chastes esprits). Elle nous vient de Pompon, pendent le retour en bus ( ce qui peut expliquer ces propos quelque peu malsains): 

« Ben moi j’ai rencontré une fille elle a pas connu la coupe du monde 98… » Bon j’avoue que j’ai changé quelques mots et embelli la phrase réellement narrée.

A part ça :

*On s’est fait un copain ardéchois

*Il parait qu’on n’avait pas vu un arbitre de touche aussi bon depuis le dernier match de Joe Maso

 

*Teddy veut rentrer à cloche nez

*Hector était absent pour cause de sortie périscolaire (excuse donnée à Archimb…)

*La Science ne sait plus lancer en touche, Toto sors de ce corps

*On s’est fait flasher en bus, du coup on a fait une cagnotte pour le chauffeur

*On a gagné la 3ème mi-temps, on a plié leur buvette

*Rouss a pris un énorme cul, il a fait l’autruche du coup

*Manque de pot, on a croisé la VEORE sur une aire d’autoroute, je vous raconte pas le merdier, le bus a même essayé de partir sans nous

 

 

*JB se prend pour Nelson Monfort en remontant dans le bus il pique le micro du chauffeur

*Doudouche s’enflamme dans le bus, une grande première

*Toto nous avait amené de la poire, on lui a fait honneur

 

*Les plus dégourdis finissent à la maison du rugby 

 

 

*Tony chante plus avec les mecs de Givors qu’avec nous

 

 

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